Budget 2006 : Toujours trop de fonctionnaires !
    Thierry Breton le répète depuis plusieurs jours : la France vit au dessus de ses moyens. Avec plus de 1000 milliards d’euros de dette publique, soit 64% du PIB français, il est clair que le contribuable français est endetté jusqu’au cou. Comme dans un ménage ordinaire, un pays qui vit au dessus de ses moyens doit soit augmenter ses ressources, soit diminuer ses dépenses.
    La première option parait nettement irréalisable. Avec une croissance qui n’atteindra même pas 2% en 2006 selon les dernières analyses, et surtout qui stagne depuis 2000, la manne financière que représenterait une augmentation de la croissance n’est pas envisageable.
    Du coup, il faut tailler dans les dépenses publiques. Rappelons que la France consacre 53,9% de son PIB à ses dépenses publiques, soit plus de la moitié de la richesse créée par les Français.
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    Le gouvernement a donc compris, depuis 2002, que les dépenses de l’Etat doivent être maîtrisées : depuis trois ans, le leitmotiv budgétaire, c’est la politique du « zéro volume ». C’est-à -dire que les dépenses hors inflation sont tout simplement gelées. On ne peut que se réjouir de cette mesure.
    Cependant, elle ne suffit pas. Il faut également réduire structurellement les dépenses, et pour cela, tous les experts s’accordent à le dire, tailler dans les dépenses de personnel. La France emploie beaucoup trop de fonctionnaires, il faut donc profiter des départs à la retraite afin de diminuer le poids de la fonction publique. Le non renouvellement des départs constitue en effet un moyen indolore de réduire le montant des dépenses de personnel.
    L’annonce des détails du budget 2006 constitue sur ce point une terrible déception. Sur les 75 000 fonctionnaires partant à la retraite cette année, seuls 5000 ne seront pas remplacés. En 2004, plus de 7000 postes n’avaient pas été remplacés. Et cette année, on ralentit le mouvement.
Ainsi, dans le secteur de l’enseignement : seuls 2500 postes ne seront pas remplacés cette année, contre 5500 l’année dernière. Et au ministère de la culture, le solde des départs a été fixé à … 30 !
    La déception règne parmi ceux qui espéraient une diminution du poids des dépenses de fonctionnaires. Le rapporteur général UMP du Budget, Gilles Carrez, avait confié la semaine dernière que « 7000 à 8000 (suppressions de postes), c’est un minimum. Faire la pause, ce serait la politique de l’autruche». Ce à quoi Hervé Mariton, député UMP de la Drôme, ajoutait : «La baisse des effectifs, c’est une nécessité au regard des finances publiques, ce n’est pas pour le plaisir…»
    Dans un cadre de relance de l’économie française prônée par le Premier Ministre, il est extrêmement regrettable que cet impératif de finances publiques n’ait pas été pris en compte.
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Ce n’est plus la peine d’aller voter puisqu’ils font ce qu’ils veulent, mais pour un Ministre venu de l’entreprise ce n’est pas brillant. A quand des objectifs et des sanctions si les objectifs ne sont pas tenus?
je connais plusieurs personnes employés dans la fonction publique,certains d’entre eux reconnaissent profiter du système (12semaines de vacances par an)et ce ne sont pas des forcément des enseignants!! tout ça aux frais du contribuable,et la retraite à 55 ans qui dit mieux!! dans le privé impossible de faire la meme chose ,non seulement nous travaillons beaucoup plus,et la retaite peut etre à 65 voir 70ans…..(une entreprise privée qui va mal est souvent obligée suite à un dépot de bilan de licencier son personnel pour alleger les charges si lourdes )mais dans la fonction publique apparemment ça ne se fait pas !et pourtant notre pays va très mal…
J’ai comme client un policier à la retraite de 51 ans .Il m’a confirmer que d’avoir travailler en Nouvelle Caledonie lui à permit de prendre sa retraite 4 ans avant et en plus sa prime de déménagement lui à servie à acheter un appt ! C’est indécent !!
Cordialement
pierre Rougier
1- si je dois respecter des objectifs, pas de pb: je dégage les élèves qui ont de faiblescapacités… le niveau de ma classe va remonter
2- je suis enseignant, j’ai des vacances mais je travaille 50h/sem et si, si, je vous jure, je travaille pendant mes « vacances », uneclasse double niveau, ça ne s’improvise pas… je me suis amusé à calculer mon temps de travail EFFECTIF sur l’année (préparations, surveillances, corrections et réunions diverses comprises)j’arrive, si je divise le nombre obtenu par 47 (52 sem – 5 sem de congés payés) à 37 h en moyenne sur l’année… ça fait pas plus devacances que le privé il me semble…
3- arretez de fantasmer sur l’age de la retraite des fgonctionnaires, quelques uns sont encore aux anciens régimes (rien de scandaleux d’ailleurs, on les a engagé à certaines conditions, on doit s’y tenir… la loi est la loi), d’autres sont militaires (libres à vous de vous engager… on verra ce que ça vous fait d’être en cote d’ivoire avec des gars qui vous tirent dessus…) mais moi, j’ai 32 ans, je partirais donc à 65 ans, comme vous tous et comme tous mes collègues…
4- si c’est si bien d’être fonctionnaire, pourquoi ne l’êtes vous pas??? Peut-être c ertains ont-ils peur du jugement de leurs congénères ou bien n’ont-ils pas les diplomes requis pour présenter les coucours…
un « fonctionnaire » très énervé d’être le bouc émissaire permanent de cette société de c….
…. ps:
a propos du policier dont ce messieur parle, c’est peut etre indécent d’avoir une prime de déménagement, mais cette personne n’a jamais eu de prime d’interressement (heureusement), ni de 13ème mois, ni de comité d’entreprise… amusez vous à comparer ses revenus sur toute sa vie avec les votres… vous serez peut etre étonnés…
Ayant travaillé à la fois dans le public et dans le privé, je suppose que je suis à meme de faire des comparaisons croisées sur les salaires et les conditions de travail .
En effet, comment une personne qui n’a jamais travaillé ailleurs que dans le public peut-elle parler valablement de ce qui se passe dans le privé (et inversement), sans jamais l’avoir ni vécu ni cotoyé?
Objectivement, je dois reconnaitre que les fonctionnaires et assimilés ont une qualité de vie bien supérieure:
– peu de stress (sauf pour les profs)
– horaires souples (32H Ã EDF)
– retraites avantageuses (75% des pensions de la SNCF sont pris en charge par les pensions du régime général)
Quant aux salaires, un Bac+5 à 30 ans qui travaille dans une PME de 10 personnes tourne aux alentours de 1600 euros net/mois, soit le salaire d’un prof CAPES. A EDF au meme age, on tourne à 3000 euros net par mois, soit ce qu’on peut gagner dans une grosse boite en travaillant 50H/semaine.
L’intéressement et les autres primes du privé existent et peuvent etre importantes, c’est vrai. Je connais des personnes qui gagnaient 4000-5000 euros net/ mois dans les fameuses « start up » internet en 2001 sont aujourd’hui au RMI.
Vaut-il mieux gagner deux fois plus et risquer de se faire virer?
A chacun de faire son choix.
Trop de fonctionnaires c’est sûr ! Mais dire que les fonctionnaires ne bossent pas est faux ! Comme partout, vous avez des fénéants, des bosseurs… Je travaille dans les hôpitaux, je peux vous dire que cela ne chôme pas ici… 24/24 7j/7, en tant qu’informaticienne aux 35h je ne compte plus mes heures supp non rémunérées… et bien sûr l’administration de l’hôpital est pléthorique, il manque des soignants, des médecins… côté administratifs les circuits de l’administration sont complexes, lourds, croûle sous la bureaucratie monstre… mais ça bosse… évidemment c’est pas rentable, évidemment la restructuration s’impose… Evidemment il faut adopter les recettes qui marchent ailleurs… mais pas facile quand vous avez une majorité de citoyens qui votent non à l’Europe et préfère rêver sur les discours de l’extrême gauche ou à l’extrême droite, plutôt que d’affronter la réalité de monde. S’adapter ou mourir !
Au vu des événements sanglants qui ont endeuillé la France, quels sont les arguments qui peuvent encore justifier les taux d’imposition phénoménalement élevés qui nous sont appliqués ?
L’Etat est incapable d’assurer sa fonction première (la sécurité) à l’égard de millions de citoyens, parmi les plus vulnérables. Des parties entières du territoire échappent à la loi, non que l’Etat manque de ressources, mais parce que ses dirigeants réservent leurs foudres aux citoyens respectueux de la loi et aux chefs d’entreprise.
On nous a longtemps seriné que le « modèle social français » justifiait la différence de 10% entre le niveau de notre dépense publique et la moyenne européenne. Les émeutes des derniers jours ont permis de goûter toute l’efficacité de ce mythe que l’on nous a demandé de financer à grands frais.
TROP DE FONCTIONNAIRES !!! CRISE ECONOMIQUE !!!
J’ai travaillé à la sécu et dans le service économique d’un hopital. Ils dorment et se jettent sur le travail dès qu’il y en a un petit peu de peur de s’ennuyer !!! Puis j’ai travaillé dans le privé c’est le contraire : il courent tout le temps !!!
Ceci dit il faut quand même en avoir
Marre de ce pays !!!
Comment se fait il qu’un citoyen paye autant d’impots ?? On est les seuls au monde pratiquement à payer autant d’impots, -avec le danemark et le japon-, comment se fait il que nous ayons 5 000 000 de fonctionnaires, alors que les autres pays en ont moins en proportion, et qu’ils se portent mieux que nous dans tous les domaines ??
Alors foutons les dehors une fois pour toute, remettons les impots à leur juste valeur, et remettons nous au travail.
Tant qu’il y aura des esclaves d’un coté, et des parasites de l’autre, ce pays ne pourra pas prospérer de façon normale. Cqfd.
Pour l’intervenant qui cite les concours, beaucoup de fonctionaires n’ont passé aucun concours et sont pistonnés, je pense notamment aux mairies, alors elle est où votre gloriole ??
Quant aux profs, on le voit bien, ils ont encensés le laxisme des jeunes, pendant 20 ans, refusant toutes les reformes, avec l’appui de leur lobby syndical, et maintenant 20 ans après, ils crient au loup parce que leurs élèves ne les respectent plus !! On croit rêver !
Moi je constate un parasitisme ambiant dans ce pays qui sape la vie de millions de citoyens.
La France est le seul pays civilisé d’europe ou les citoyens esclaves n’aspirent qu’à une chose : partir !!!
Texte pragmatique, glané sur le forum « pélerin » :
La réduction du nombre de fonctionnaires est une obligation impérieuse pour plusieurs raisons.
– Les Français n’ont pas les moyens de supporter une charge financière aussi importante (plus de 40 % du budget de l’Etat est consacré au paiement des salaires de ses agents). L’Etat vit au dessus des moyens des français et les endette pour plusieurs générations.
– L’excès de fonctionnaires accompagne et génère un excès de bureaucratie qui freine la France qui travaille et gaspille les richesses qu’elle produit (6 millions de fonctionnaires, soit un actif sur quatre, 40 réglements édités chaque jour, 17.000 pages de journal officiel produites chaque année, un fonctionnaire du secrétariat général de la Mer pour 3 marins…).
En 30 ans le nombre de fonctionnaires a été multiplié par 4 !
Il est temps de rompre avec le choix effectué en son temps par Valery Giscard d’Estaing en faveur de la sociale-démocratie. Le modèle de l’accroissement régulier des impôts, des charges, de la législation, de la part des revenus distribués par l’Etat et du nombre de fonctionnaires a conduit la France dans l’impasse de la croissance molle, du chômage de masse et de l’irresponsabilité généralisée. Car le poids excessif du secteur public et la bureaucratie sont des semelles de plomb de plus en plus handicapantes pour les entreprises françaises dans la compétition mondiale. Les plans sociaux à répétition sont davantage la conséquence des 35 h et de ce choix de société collectiviste que des « patrons voyous ».
Face à la banqueroute financière de l’Etat et des entreprises publiques (France Télécom, La Poste, EDF…) il est temps de signifier aux syndicats de fonctionnaires qu’il n’est plus possible d’acheter la paix sociale en augmentant sans cesse le nombre et la rémunération de leurs adhérents.
C’est une question de dynamisme économique mais aussi de justice sociale.
L’inégalité entre le secteur public et le secteur privé est devenue réellement intolérable.
D’un côté, la garantie de l’emploi, des salaires moyens supérieurs de 6 à 23 % à leurs homologues du privé, des retraites précoces et avantageuses (les fonctionnaires disposent de fonds de pension), peu de pression sur les performances, un temps de travail réduit, la possibilité de se mettre en grève plusieurs fois par an…
De l’autre, l’insécurité, des salaires instables, des retraites tardives et menacées, le stress, les heures supplémentaires, etc…
La France productive ne peut et ne doit plus tirer le boulet d’une fonction publique pléthorique qui, de plus, refuse trop souvent de faire des efforts pour améliorer le coût et la qualité de ses services.
Il faut en finir avec des idées reçues aussi fausses que nuisibles que nous infligent depuis des années les syndicalistes, les socialistes et certains médias de surface.
Non, la création de postes de fonctionnaires ne contribue pas à réduire le chômage, mais bien au contraire à l’accroitre.
1 euro investi dans le public n’a pas la même valeur créatrice qu’1 euro investi dans le secteur privé, quand il n’a pas une valeur destructrice (lorsqu’il finance une bureaucratie inutile).
Que l’on cesse de nous dire que nous avons la meilleure administration du monde. C’est faux. L’administration française est interventionniste, couteuse, complexe, peu productive, conservatrice et souvent injuste et impitoyablement mécanique avec les pauvres administrés qui pourtant la supportent financièrement (En France, le coût de la collecte de l’impôt est de 40 % supérieur à celui des pays voisins).
Ce sont bien évidemment les principes de fonctionnement de l’administration qui sont en cause, davantage que des fonctionnaires qui, pour la plupart, sont dévoués et compétents, mais souvent démotivés par une organisation qui ne reconnait pas, ni ne sanctionne, la responsabilité et le mérite individuels.
Si elle veut permettre le redressement national, en finir avec le chômage et rétablir la justice sociale, la droite doit engager avec courage et détermination la lutte contre la bureaucratie triomphante.
Pour etre en situation de réformer avec le soutien populaire et réduire la morgue des démagogues syndicaux, il faut commencer par dire la vérité aux Français – et singulièrement aux fonctionnaires -. Il faut cesser de se prosterner devant le veau d’or administratif et ses souteneurs syndicaux. Nous ne devons plus reculer devant des manifestations corporatistes, largement remplies par les permanents syndicaux eux-mêmes. Faisons sauter le verrou syndical, par l’épreuve de force si l’on nous l’impose. Contrairement à 1995, les Français y sont prêts et le Gouvernement n’a pas manqué d’habileté pour préparer le terrain politique.
Disons le sans hésitation, il y a beaucoup trop de fonctionnaires en France (500.000 d’après le rapport Charpin).
120.000 fonctionnaires partiront à la retraite dans les 2 années qui viennent. Ayons le courage et le sens des responsabilités afin de ne pas accabler nos enfants d’impôts : ne renouvelons qu’un départ à la retraite sur trois ou quatre. Cela produira immédiatement des milliards d’euros d’économie. Près de 10 % du montant de l’impôt sur le revenu dès la première année. Le Gouvernement dispose là d’une solution toute trouvée pour financer ses engagements.
Les gains de productivité extraordinaires produits par les nouvelles technologies (Carte vitale, paiement des impôts par internet, téléprocédures administratives…) et la suppression de services inutiles et redondants (ANPE, vignette, redevance TV, etc…) doivent permettre cet allégement sans « menacer le service public » et, bien au contraire, en améliorant les services rendus. La réduction du nombre de fonctionnaires est indissociable de la réforme de l’Etat, de la responsabilisation des fonctionnaires et de l’amélioration de l’intérêt de leur travail.
L’Allemagne a réduit le nombre de ses fonctionnaires de 20 %, la Suède de 42 %, comme les Etats-Unis, la Grande Bretagne, l’Italie, le Canada… La France restera-t-elle le dernier dinosaure bureaucratique bloqué dans un modèle de société dépassé et abandonné par tous les pays qui nous entourent ?
Bien qu’il est facile de cracher sur le dos des fonctionnaires, il faut se dire qu’il faut de tout pour faire marcher un pays.
Cependant, il n’en faut pas trop, ça ne sert à rien. Si, à attiser les jalousies et la hargne primaire du privé (ceux qui peuvent se retrouver facilement au chômage) et ainsi diminuer l’estime que l’on peut porter au travail effectuer par les fonctionnaires.
Je pense que cela fait bien longtemps que nous aurions du diminuer les embauches, l’Etat se plaignait déjà de ce problème mais il n’a rien fait et à laisser les administrations partir à la dérive.
J ‘ai dans mes relations des exemples honteux de laxisme et de fumisme dans certaines administrations françaises qui me font dire que de diminuer le nombre de fonctionnaires permettraient de redorer le blason de la profession et ferait que ce mot ne soit plus péjoratif.
De plus, on y rentre la plupart du temps par un piston interne, les chances ne sont même pas égales.
Les probabilités de rentrer dans le service public quel qu’il soit pour un « anonyme » sont quasi-nuls, je connais les exemples, je ne parle pas sans savoir.
Si cela peut permettre de faire avancer le débat sur ce forum, je suis pour la privatisation d’EDF, les choses doivent évoluer, la France est un pays qui a des principes poussièreux, non pas que je sois libéraliste seulement que d’autres entités aient le droit de pénétrer le marché du deuxième pays d’Europe.
Vous voulez vraiment moins de fontionnaires ?
Alors expliquez-moi pourquoi y a-t-il toujours autant (voir plus) de ministres et secrétaires d’étas ? A 13 000 euro par mois le compte est vite fait ….
J’ai bossé dans le privé, j’
j’ai bossé dan le public et les même fainéants y sont, le pire c’est qu’ils sont toujours bien vu dans les deux cas et ce ne sont jamais eux qui sont virés ou ont des problèmes.
Ensuite j’ai comparé les salaires public/privé yu’a pas photos, avec le 13éme mois, le CE, les primes et. le privé paye plus.
Quant aux vacances il y en a beaucoup dans le public, mais pas pour les personnes qui bossent beaucoup : les patrons du public n’en rament pas une et travaillent quand ils veulent.
J’ai entendu parler de stress, il y en aurait moins dans la fonction publique ? ça dépend, si vous êtes fainéant et bien vu par le patron….pas de problème !
Le problème dans la fontion publique ce sont les gérants, ils ne veulent pas faire bouger les choses, alors quand vous arrivez avec des idées de manière à améliorer le système, vous êtes mal vu par le patron et vous mènera la vie dure…bonjour le stress.
Si nous avions des ministres avec quelque chose dans le pantalon, il s’occuperait d’abord des patrons du publique qui engrengent toutes les primes (voir parfois les propres primes de leurs agents) : un intendant de lycée à 4000 euros qui délègue tous son boulot, qui a le temps de lire le journal, et passe 25% de son temps a des petits coktail entre intendants, là je trouve qu’il y a de l’abus….après on préfère ne pas recruter d’agent de nettoyage parce qu’il n’y a plus de sous…. Tout cela proucve que les gens n’ont rien compris et qu’ils continuent de s’en prendre à ce qui fonctionne bien.
Lorsqu’il n’y aura presque plus de fonctionnaires, vous pourrez toujours pleurer qu’il n’y a plus de poste dans votre village et moi je serait là pour applaudir.