Eudes Baufreton défend les contribuables sur BFM TV

Mercredi dernier 5 juillet, Eudes Baufreton intervenait sur BFM TV pour rappeler ce qui devrait être l’un des maîtres mots du Gouvernement : qui dit baisse d’impôt, dit réduction des dépenses publiques. Or, nulle réforme claire n’est avancée en ce sens. Pourtant le temps presse : nous sommes cette année le pays le plus imposé de l’OCDE. À l’instar de nos voisins, mettons en place une vraie politique de réformes et relevons notre pays.
La France dépense beaucoup trop. Cette année, les contribuables seront symboliquement libérés le 24 juillet, plus d’un mois après les contribuables de la zone euro ! Retrouvez notre infographie et notre analyse en cliquant sur l’image ci-dessous :
Vous cherchez des pistes d’économie importantes chiffrables en milliards d’Euros ? En voici trois :
1-Pour la réforme territoriale, la suppression des régions qui se cherchent depuis 25 ans des parcelles de pouvoir pour exister et affirmer des potentats locaux. ca, ça fait un niveau d’administration en moins d’un coup d’un seul, et des dépenses de fonctionnement conséquentes en moins.
2-Suppression de la mesure qui s’annonce d’amener à 12 élèves les classe primaire en milieu difficile (maîtres et locaux, ça fait des dépenses). Je vais faire bref : que les élèves soit moins bruyants et plus à l’école du maître et ça ira tout seul, à 30 élèves comme à 12, pour preuve : les cours magistraux des amphis à 70/80 étudiants attentifs, ça existe aussi !
3-Division par quatre du budget de la formation professionnelle (32 milliards €. annuels aujourd’hui dont la moitié tirée des impôts étatiques). Aujourd’hui ma conjointe va en formation professionnelle à 30 kilomètres pour apprendre comment se servir (enfin : les bases…) d’Excel (logiciel de calcul de Microsoft)… alors que les tutoriels vidéo ou papier simplement accessibles gratuitement à l’écran depuis chez soi sont légion sur Internet, comme dans beaucoup de domaines du reste.
Correction : plus à -l’écoute- du maître
J’ai bénéficié de 15 jours par an de formation continue, comme tous mes collègues; et choisi sans aucune contrainte les stages correspondants, qui très généralement n’avaient rien à voir avec mon travail. Merci à l’état, mais est ce raisonnable?
Et le bouquet, est que je ne pouvais pas faire bénéficier les agents techniques de ces formations: le catalogue de stages était à plus de 90% destiné aux seuls cadres diplômés!
N.B. Je suis certain que les coûts correspondants ne sont pas comptabilisés dans les 32 Mds cités par Jamas!Pas plus que ceux des fonctionnaires…