La politique des transports ferrés et urbains : 700 milliards €
« Le transport ferroviaire a creusé depuis trente ans la dette publique d’environ 500 milliards €. Les chiffres relatifs aux transports collectifs urbains font apparaître une contribution à cette dette d’un peu plus de 200 milliards €. La politique des chemins de fer et du transport collectif urbain explique donc à elle seule environ 700 milliards €, soit plus de 40% de la dette publique française actuelle. »
Voilà ce qu’a déclaré le professeur Rémy Prud’homme. Cette donnée est expliquée dans le dossier « Transports et dette publique » publié en avril 2012 par le Cercle des Transports qui regroupe l’ensemble des experts du secteur.
Christian Gérondeau a repris ce chiffre dans son ouvrage « Ecologie, la fin » aux éditions du Toucan. « Ce gouffre méconnu ne cesse de s’accroître imperturbablement au prétexte désormais d’une illusoire contribution à la sauvegarde de la planète. » ajoute-t-il.
n’importe quoi! ce sont les politiques qui ont fait du tout TGV sans se préoccuper des lignes classiques! Vous ne racontez que des inepties et des contre vérités, mais plus c’est gros plus cela passe!
N’IMPORTE QUOI!
La politique de la ville menée en France n’est pas compatible avec la mise en oeuvre de transports en commun à prix raisonnable.
On ne veut pas faire payer aux utilisateurs le juste prix du billet de transport de peur que plus personne ne s’en serve, ce qui obligerait à traiter au fond les problèmes de mobilité.
Reste à tricher en subventionnant, et à emprunter pour subventionner pour refiler le problème aux successeurs. Il n’est nul problème que le temps ne résolve, laissons du temps au temps,..paroles de politiques français.