Corrèze : la gestion catastrophique du département de François Hollande
François Hollande a été élu, le 20 mars 2008, président du Conseil général de la Corrèze. En trois années de gestion (2008,2009,2010), la situation financière du département est devenue très critique.
Compte tenu de ces difficultés, l’État -et donc le contribuable- a apporté un soutien de 19 millions d’euros à ce département, en 2011.
Au cours de cette période, les dépenses de charges de personnel ont augmenté de 46 millions d’euros.
La dette par habitant (on compte 242 038 Corréziens) est la plus importante de tous les départements (1 428 euros en 2010, pour une moyenne nationale de 476 euros).
La dette totale a augmenté de 87 millions d’euros.
Voici quelques chiffres clefs 2010 / 2007.
· Charges de personnel : + 54,95 %
· Dépenses d’équipement directes : – 66.35 %
· Subventions d’équipement versées : – 31.01 %
· Capacité d’autofinancement pour remboursement des emprunts : -33.04 %
Au 31.12.2010, pour le remboursement de la dette, il manquait en capacité d’autofinancement 2,4 millions d’euros.
· Montant de la dette : + 33.81 %
Nombre d’années théorique de remboursement de la dette en 2007 : 9 années ; en 2010 : 18 années.
· Trésorerie nette en fin d’exercice
Au 31.12.2007 Positive 12,593 millions d’euros
Au 31.12.2008 Positive 9,424 millions d’euros
Au 31.12.2009 Négative – 7,891 millions d’euros
Au 31.12.2010 Négative – 6,528 millions d’euros
Cette collectivité n’a plus depuis le 31.12.2009, un euro en disponibilité pour les dépenses courantes. Elle est en découvert permanent.
Les élus peuvent continuer de faire des largesses pour se faire élire, car en cas de difficultés, on matraque le contribuable national. Trop, c’est trop.
Claude Jaillet
Sur le site du Ministère des Finances, www.colloc.bercy.gouv.fr, les comptes de l’année 2010 des départements et des régions sont publiés depuis peu.
ps : de préciser également qu’avant 2008 la droite était au pouvoir et que les comptes n’étaient pas meilleurs. (je ne dis pas que Hollande est bien ou non, je mentionne simplement un fait qui ne semble pas apparaître ici)
bonjour,
sur ce site je pensais trouver une analyse critique et objective, je suis déçu quand je lis cet article. Je ne me permettrais pas de juger dans un sens comme dans l’autre les dépenses d’investissements etc, mais concernant les dépenses de fonctionnement et notamment l’augmentation de la charge salariale, vous oubliez de préciser que les départements ont récupérés , par transfert de compétences, le personnel des DDE. Donc pour simplifier, c’est comme si vous etiez gérant d’une entreprise de 10 salariés, et qu’une Loi vous oblige à prendre 200 employés d’une autre société, et que dans le même temps on vienne vous accuser de recruter plus que votre situation financière ne le permet. donc merci de le préciser dans cet article, afin qu’il soit le plus objectif possible (à moins qu’étant entendu qu’ici il s’agisse d’un site de « droite » (je ne sais pas)…)
A b. Alghisi, vous avez raison 4 ans c’est trop peu pour rectifier des années de déficit, mais ces messieurs ne sont d’habitude pas très regardants sur l’honnèteté des arguments pour descendre le camp d’en face; ici rien étrange, non?
A sa décharge, Monsieur Hollande n’est Président du Conseil général de Corrèze que depuis 2008.
Mais aussi parce que les Hautes-Alpes, deuxième département le plus endetté de France par habitant, juste derrière la Corrèze, est dirigé par des amis de hauts personnages de l’Etat très influents.
Voir « dette des Hautes-Alpes » http://www.observatoiredessubventions.com, mais aussi : « Montant de la dette publique: 1692.7 milliards d’euros »
http://www.lecri.fr
Voir également sur notre site : « Lettre ouverte à Monsieur le Procureur de la République de LYON » , « Lettre ouverte à Monsieur le Procureur de la République de Marseille » et « Lettre ouverte à Monsieur le Procureur de la République de Gap ».
Magouille et corruption, les deux mamelles de la « crise »….!
http://www.associationmieuxvivredanslatransparence.fr
Pourquoi le président sortant n’a-t-il pas relevé que son opposant n’avait pas su gérer les finances publiques de la Correze, ce qui donne peu d’espoir qu’il fasse mieux avec les finances de la France?Mistère, à moins qu’il n’y ait des choses à ne pas dire aux français? Décidement la démocratie s’accomode mal du secret, et c’est normal: se faire représenter ce n’est pas donner les pleins pouvoirs, contrairement à un avis qui parait très partagé chez nos politiciens professionels
Quand on tiend pas le litre on descend au 1/2 litre!!!! et pas le contraire
Ca me rappelle une fable de la fontaine la Grenouille et le boeuf
Comment peut on prétendre gouverner une nation lorsque l’on est pas capable de gérer un département de 234000 habitants?
L’échéance de la catastrophe est proche.
Les pays limitrophes (ESPAGNE) de la France enviaient les décisions prises par le gouvernement de NS pour limiter la casse.
Ce n’est pas en baissant le salaire du président et celui des ministres que nous allons avoir un impact immédiat d’ économie. Cela laisse suposer peut être que l’ensemble des moutons de panurge va devoir faire de même.
A suivre….
Bien qu’une entreprise ne soit pas grand chose sans travailleur, il faut tout de même une entreprise d’abord, c’est à dire une personne (homme ou femme donc) qui se lève un matin avec un projet et qui va donner toute son énergie à mettre ce projet en marche, ce qui va créer de l’emploi et donc de la richesse. Mais la différence c’est que cette personne qui met toute son énergie et souvent toutes ses économies, si l’entreprise ne marche pas, il/elle perd tout: emploi, revenus, patrimoine puisque les emprunt a couvrir vont tout engouffrer, et surtout derrière, pas de chômage, pas de couverture sociale, il ne reste que des dettes à éponger…. Je ne dis pas que les ouvrier soient mieux lotis, mais ils ne cessent de faire grève et de manifester……ils sont parfois plusieurs millier sur un site en difficulté alors qu’ils crient haut et fort que le site est rentable…….eh bien qu’ils s’organisent, qu’ils se cotisent et qu’il le rachètent!!!! et on verra après comment ils se comportent, si l’entreprise s’écroulent ils seront les premiers à regretter le temps où ils étaient salariés et si l’entreprise marche, ils seront les premiers à changer de voiture, de maison et à regarder de haut ceux qui s’apitoient sur leur sort.
Les français ne veulent pas l’égalité, ils veulent juste abroger les avantages des autres, mais les leur…..!! malheur à celui qui osera les remettre en question (cf SNCF et autres fonctionnaires dont les salaires augmentent quels que soit leur productivité, que l’entreprise, c’est à dire l’État, aille bien ou mal, leur salaire suit une grille bien pépère!!)
Alors arrêtez de montrer les gens qui gagnent de l’argent du doigt. Ne traitez pas tous les entrepreneur comme des despotes parceque 10% d’entre eux sont des patrons voyous, les autres 90% prennent des risque effectivement toute leur vie et ceux qui réussissent, le méritent.
C’est quoi ce message de dire, t pauvre, attend on va chercher dans les poches d’un riche pour t’en donner.
Le socialisme rassemble en effet, mais vers le bas!!!
Personnellement ce n’est pas ce que je recherche pour mon pays.
A bons entendeurs comme dirai l’autre!
Rémunérer la prise de risque : ok…! non seulement des Patrons ou entrepreneur mais aussi celles des ouvriers ou employés….
Pourquoi une telle différence de reconnaissance?????
Un patron sans ouvrier n’est pas grand’chose…et ce n’est pas lui qui paye de sa santé av les rythmes, les conditions de travail, les produits toxiques…c’est vrai les risques pris ne sont pas les mêmes …..!!!!
Les uns , c’est avec le porte monnaie en exploitant les autres en les payant à coup de lance-pierres, le moins possible et méprisant leur capacités et leur nécessité, fixant leur propre rémunération amplement plus méritante de quoi se gaver et même gaspiller à tous les niveaux: voiture « bis »- maison « bis »- et tous ce qui va avec en « bis » voire « ter » et plus.
Les autres , c’est avec leur savoir-faire et leur santé éprouvée et souvent mise en danger NON RECONNUS, qui luttent pour boucler la fin du mois et devant être très contents dèja d’avoir une location pour s’abriter avec sa famille ou une petite maison à crédit qui le coince pour se faire respecter de son patron…………
Pourquoi ne partagerions nous pas les richesses de façon à ce que les besoins fondamentaux de chacun soient comblés en 1er lieu.?
Nous sommes tous interdépendants et nous aurions peut être un peu plus le respect de notre planète en gaspillant moins et consommant mieux………….
On peut REVER ou pensez très très fort……On y arrivera…..
A bons entendeurs….salut…!
La France et sa grandeur……….. un chef d’entreprise qui plonge suite à une catastrophe naturelle, à la maladie, une sècheresse ou trop de pluies…….. bref !!!! un facteur autre que de la mauvaise gestion ………..;;;; se voit très souvent mis au ban de la société et interdit de gérer ……..pour de longues années ……..;… Nos élus font de la mauvaise gestion avec pleins de malversations ………..; une petite sanction et ca repart de plus belle………….. avec des fauteuils bien confortables……….. Carignon, Balkani, Juppé, Fabuis, Harlem Désir, etc…….. quelque soit la couleur du parti……… En droit français…………. il me semble que l’on ne pas être à la fois juge et partie……………. Alors pourquoi, 80% des élus sont des fonctionnaires …………………
Flanby et sa gestion de la Corrèze :
http://www.youtube.com/watch?v=d6mVlfbc7uI
« Cerbiotech: après avoir versé 3 millions d’euros, le conseil général se désengage » http://www.ledauphine.com.
Voilà l’exemple de magouilles qui démontre la raison pour laquelle notre endettement se monte à plus de 1717 milliards d’euros…..!
Magouille et corruption, les deux mamelles de la « crise »….!
http://www.associationmieuxvivredanslatransparence.fr
faux !
http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2012/article/2012/02/22/le-caricatural-exemple-correzien-de-l-ump_1646127_1471069.html
Bonjour LeCri, voici (enfin) la vidéo qui illustre votre article ^^
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http://www.youtube.com/watch?v=GR3zBk1NAaQ
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Bonsoir: @ l’ intention du cri et de mes cher(es) Compatriotes Français(es)
Des faits incontournable!! bonne lectures a tous!
LE HOLD UP DU PS SUR LA FRANCE ET SA HAINE VISCERALE DES ENTREPRENEURS (par Maurice D.)
La mafia rose a déjà l’argent, elle veut aussi le pouvoir. Parions sans risque que l’une des premières mesures que prendrait le socialiste s’il était élu à la Présidence serait une bonne petite loi d’amnistie, blanchissant ses amis blanchisseurs de marchés publics truqués, comme il y en eut une sous Mitterrand.
Oubliant leurs professions de foi des primaires, tous les pontes du parti se sont alignés sur la ligne très à gauche de leur candidat. Même Valls et Montebourg dont l’apparente sincérité avait pu séduire il y a six mois encore. Ils veulent la Présidence et l’Assemblée nationale. S’ils les obtiennent, détenant déjà le Sénat, la Cour des comptes et les provinces, ils auront tout le pouvoir. La France n’ayant plus de contre-pouvoir deviendrait de fait un Etat totalitaire socialiste.
Ils pourraient alors achever la mise en coupe réglée du pays, déjà bien avancée (là, c’est le maire socialiste de Strasbourg qui vient d’être mis en examen).
Et ils nous refont le coup de la morale, eux qui traînent plus de casseroles financières qu’un convoi de quincaillerie.
PILONNAGE DES « RICHES », POUR MIEUX ENDORMIR LES CLASSES MOYENNES QUE LE PS SE PREPARE A SAIGNER !
Le pilonnage se fait sur « les riches », histoire de faire oublier à la classe ouvrière et à la bourgeoisie que ce sont elles qui vont payer les frasques de Hollande.
Hollande lui-même le dit, sa taxe de 75 % sur les riches ne rapportera presque rien.
Hier soir, sur la 5, son perroquet de service, Nadja Belkacem, récitant par cœur le texte qu’on lui avait donné, essayait de convaincre les auditeurs que cette taxe serait une mesure de « justice fiscale ». Soit, voyons.
Jeudi soir, tous les intervenants experts en finances et en fiscalité l’ont dit à C dans l’air : un « taux nominal » de 75 % pèse en réalité beaucoup plus. Sarkozy a déjà apporté un élément en rajoutant la CSG à 8 % (qui s’additionne aux tranches de l’IRPP). Si l’on ajoute la CRDS et quelques autres incidences fiscales mineures, on arrive à un « taux marginal d’imposition » allant de 95 à 98 %.
Autant dire que tout euro supplémentaire après 83 000 € par mois serait confisqué par le pouvoir socialiste (83 000 et pas 100 000 comme l’a bafouillé Hollande qui est incapable d’un calcul de tête élémentaire – il l’a montré à plusieurs reprises – : selon lui 1000 000/an : 12 mois = 100 000 ! ).
Comme l’on dit les footballeurs qui se sentent directement visés : on va tous partir parce que « oui, on est bien payés, mais cet argent on ne l’a pas braqué ». Ils ont raison, ils sont peut-être trop payés, mais ils ne volent pas cet argent. De toute façon, les quatre d’entre eux qui gagnent plus de 11 millions par an sont déjà domiciliés fiscalement à l’étranger, comme pas mal d’acteurs, de patrons de grandes entreprises et quelques hommes politiques de gauche (et le patron de Libération !).
Si tous les joueurs qui gagnent plus de 83 000 €/mois s’en vont, autant fermer tout de suite l’OM, l’OL et le PSG.
L’ENFARINE, QUI A DU MAL AVEC LES CHIFFRES, N’HESITE PAS A ADDITIONNER LES POIRES ET LES POMMES !
Toujours barbotant dans son incompétence mathématique, économique, fiscale et financière, Hollande a ressorti aussi les 75 milliards de cadeaux faits aux riches. Déjà, dans Libération du 7 nov 2011, il avait dit : « Depuis le début du quinquennat de Nicolas Sarkozy, 75 milliards de recettes fiscales ont été perdus, en raison d’allégements en faveur des grandes entreprises et des ménages les plus favorisés. »
Mais, dit Le Monde, « les calculs sont plutôt approximatifs ». Le 10 novembre, le PS a détaillé dans un article mis en ligne sur son site comment il arrivait à comptabiliser « 75 milliards d’euros de cadeaux fiscaux depuis cinq ans ». Pour y arriver, les socialistes additionnent le coût du bouclier fiscal, de la suppression des droits de succession et des intérêts d’emprunt immobilier… Mais aussi de la défiscalisation des heures supplémentaires, de la TVA dans la restauration et la suppression de la taxe professionnelle !
Or ces trois dernières mesures n’ont en rien profité aux riches, mais aux ouvriers et employés, aux restaurateurs et aux entreprises.
Si ce n’est pas de l’incompétence socialiste, c’est voulu, c’est donc du mensonge socialiste.
ET D’ABORD, QU’EST-CE QU’UN RICHE ?
Maintenant, parlons-en de ces fameux riches. Les riches, disait ma grand’mère, sont ceux qui n’ont pas besoin de travailler pour vivre. C’est l’image traditionnelle des rentiers que l’on voit dans tous les romans du XIXe siècle et que tant de feuilletons de la télé nous montrent.
D’après l’économiste Mathieu Mucherie cité par le blog Atlantico, « en dessous de 2 millions d’euros de patrimoine (en net) au total, on n’est pas vraiment riche aujourd’hui en France : on a peut-être un bon salaire, une jolie maison, une épargne confortable, on a peut-être chacun de ces trois éléments, mais on n’est pas riche. En effet, dans une économie où il faut prendre des risques substantiels pour obtenir un rendement (nominal ! et avant impôts !) de plus de 4% par an (net des frais de gestion) sur ses placements, et où les loyers et les prix des logements sont ce qu’ils sont dans les grandes villes, on ne peut pas adopter durablement le train de vie qui sied à un « rentier-bourgeois » si l’on dispose de moins de 2 millions ».
ET LES POLITICIENS DE CARRIERE ?
Maintenant, regardons un homme politique qui va gagner 300 000 €/an en fin de carrière. Beaucoup y sont déjà, tous ceux qui ont été ministre, député ou sénateur-maire, président de province. Presque tous sont des cumulards (83 % des élus) et s’ils ne sont pas déjà à 300 000 € à 60 ans comme Juppé, Fabius, Chirac, et même Mélenchon et bien d’autres, ils y seront bientôt comme Hollande, Aubry ou Royal.
Ces prestations qu’ils reçoivent tant en activité qu’en cumulant leurs pensions de retraite, ils les ont soutirées des poches des citoyens puisqu’ils ont toute leur vie été payés par les budgets publics.
Ils n’ont jamais eu le moindre souci d’argent et rien à craindre pour leur retraite garantie par l’Etat.
Ils ne prennent aucun risque, en cas d’échec ils sont toujours re-parachutés quelque part (voir Lang, Royal…).
Personne ne dit qu’ils sont riches.
LES ENTREPRENEURS, CREATEURS DE RICHESSE, MEPRISES PAR LES SOCIALISTES
Maintenant prenons un chef d’entreprise. Il a pris des risques toute sa vie, donné du travail à des dizaines, des centaines, des milliers de familles, investi son argent dans des entreprises pour créer de l’activité.
S’il a commis une erreur et a tout perdu, tant pis pour lui.
S’il a réussi à avoir 300 000 € de revenus de son travail en fin de carrière, on le dit riche. Enfin ! Les socialistes disent avec mépris que « c’est un riche ».
Mais de quel droit les socialistes disent-ils que le patron à 300 000 € est riche et que le Mélenchon à 300 000 ne l’est pas ?
« N’importe quelle analyse de rentabilité dans le monde entier incorpore toujours deux paramètres : le risque et la rentabilité.
En France, pour des raisons qui m’échappent totalement, quelqu’un qui gagne de l‘argent sans risque, est plus louable qu’un individu qui en gagne en prenant des risques.
On n’arrivera à rien dans ce pays, tant qu’on n’aura pas compris que l’essentiel pour qu’il y ait de la croissance, est de favoriser d’un côté la prise de risques et de l’autre les entrepreneurs », dit l’économiste Charles Gave cité par Atlantico.
Si la France était un paradis pour les riches depuis 5 ans, observe Mathieu Mucherie, les riches étrangers auraient été mis au courant (ce sont des gens plutôt bien informés) et viendraient s’y installer, comme ils le font en Suisse, aux Etats-Unis, en Angleterre ou en Belgique.
Le flux de 1200 familles françaises qui quittent chaque année la France pour des raisons fiscales se tarirait (ce qui n’est pas du tout ce que l’on observe).
La France fabrique de moins en moins de riches et elle pousse de plus en plus ses riches vers l’expatriation : c’est une tendance de fond que le quinquennat Sarkozy n’a pas même égratignée.
Les avocats fiscalistes basés en Suisse et en Belgique, interrogés par C dans l’air, ont observé son amplification depuis le début de cette année à cause de l’annonce par les sondagiers d’une possible victoire de Hollande.
Ceux qui ont gagné de l’argent au cours de ce quinquennat ont été les gens de l’univers « corporate » (les salaires résistent mieux à la crise que les placements).
Les rentiers sont ceux qui bénéficient de quotas professionnels : taxis, notaires et pharmaciens qui ont vu la réforme des quotas avorter, les fonctionnaires de Bercy qui ont tiré profit de la fusion DGI/Trésor…) et les profiteurs du Grenelle de l’environnement (sous des prétextes écolos, ils ont fait bloquer les projets de leurs concurrents).
De façon générale, les jeunes et les nouveaux entrants ont été découragés, les vieilles élites mitterrandiennes se sont enrichies, et les incompétents ont été récompensés (Trichet est désormais administrateur d’EADS, Lauvergeon a reçu un chèque de 1,5 million pour un plantage d’Uramin estimé à 1,5 milliard, Bouton de la Société Générale qui a perdu 5 milliards a retrouvé un poste tout aussi juteux, etc.).
Normal, l’ENA et Sciences Po sont des mafias qui recasent toujours leurs incompétents.
La personne qui veut mettre de côté de l’argent pour se faire sa propre retraite, aujourd’hui, est imposée à outrance, tandis que le fonctionnaire, lui, ne l’est pas. Pour qu’il y ait vraiment la justice fiscale que les socialistes prétendent incarner, il faudrait qu’ils remettent tout cela à plat.
D’autant plus qu’une fois à la retraite, les niveaux de vie des salariés du privé et ceux du public ne sont pas du tout les mêmes. Fonctionnaires, soyez tranquilles, le PS ne le fera pas.
La France est déjà le pays où l’impôt sur le capital est le plus effrayant, ça va empirer.
Ce sont les entrepreneurs qui créent des emplois, jamais les Etats, sinon l’URSS, l’Europe de l’Est, la Corée du Nord, Cuba auraient été les pays les plus développés du monde.
Or ils ont été les plus pauvres (les peuples, pas les dirigeants).
Les Chinois, les Vietnamiens, les Laotiens, les Cubains ont fini par le comprendre : l’économie d’Etat crée de la pauvreté.
En faculté, j’ai eu comme professeur d’économie André Philip, ancien ministre socialiste il enseignait l’Histoire des faits économiques et sociaux. Je lui avais demandé pourquoi l’économie gérée par l’Etat ne peut générer que de la pauvreté. Il m’avait dit « Va voir en Allemagne de l’Est, (économie socialiste d’Etat). Va ensuite au Portugal (économie fasciste d’Etat) (Salazar), puis au Canada (économie libérale), tu comprendras pourquoi ».
J’ai compris : ce n’était pas le régime politique qui créait la misère en Allemagne de l’Est et au Portugal, c’était la mainmise et l’interventionnisme de l’Etat dans l’économie du pays.
C’est ce que nos socialistes n’arrivent pas à comprendre.
Pour créer des emplois qui enrichissent et développent un pays, il faut laisser les entrepreneurs tranquilles et rémunérer la prise de risques.
Maurice D.
L’Ordre Nouveau de l’ennemi et de ses Collaborateurs,
c’est la SERVITUDE
Général Charle de Gaulle : 1890 – 1970.
1 er Mai 1941 .
Le problème est que l’on trouve des français pour les réélire; et à cela de bonnes raisons: beaucoup ne savent pas car il faut chercher pour savoir malgré des média dits indépendants; beaucoup ont intérèt à cette situation dont ils profitent pensant que les riches payeront, ce qui est en partie le cas via les transferts budgétaires; enfin les autres feraient ils mieux, il n’y a aucune raison puisque c’est dans l’organisation qu’est la cause de cette situation.
Bonjour:
Communiste habillé en Maréchal,dictateur tapi dans sa ruse,
conquérant à l’air bonhomme.
Il s’appliquait à donner le change !!!
6 Novembre 1942 : Staline ( Hollande)
Général Charle de Gaulle : 1890 – 1970.
Darlan( Hollande) ne veut pas faire la guerre !!!!
IL tient à REMPLACER un jour Pétain ( sarkozy) et ne le peut,
sans le soutient Allemand!
Général Charle de Gaulle :1890 – 1970.
23 novembre 1942
Bonjour: @ l’intention du cri et de mes cher(es) Compatriotes Français(es)
Paris ment ! Paris ment !
Paris est Arabo – Allemand !
SOCIALISME ET CORRUPTION
C’est curieux, les députés socialistes représentent 32 % de l’effectif des députés de la nation, mais 67 % de l’effectif des députés poursuivis ou condamnés pour des crimes et délits divers, si j’en crois la liste publiée récemment par ddata.overblog.
http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/4/08/60/68/Doc-HTML/Elus-2.html#
Ddata donnant les motifs de condamnation et les peines prononcées, on voit que les élus socialistes sont peu portés sur le sexe, à l’exception du très médiatisé Strauss-Kahn à nouveau en garde à vue pour proxénétisme et abus de biens sociaux. Ils sont par contre très impliqués dans les délits financiers touchant l’argent public : « trafic d’influence sur marché public frauduleux », « soustraction de fonds publics », « corruption », « emplois fictifs », « prise illégale d’intérêts dans les marchés publics », etc.
Ce n’est guère rassurant pour les cochons de payants que nous sommes.
Je suis surpris parce que la moindre peccadille d’un député, ministre ou sénateur de droite donne lieu à une marée médiatique formidable donnant à croire que le crime est de droite et la morale socialiste, alors que l’on n’entend rien ou presque (toujours avec l’exception DSK) sur les cinq inculpations prononcées, rien que depuis le début de l’année 2012, à l’encontre d’élus socialistes.
Ddata donnant également le montant détaillé des revenus des élus, et notamment de ceux qui occupent de hautes fonctions dans les appareils des partis, on voit que les gens qui vitupèrent la richesse et les hauts revenus sont bien mal placés pour en parler. C’est encore plus choquant quand il s’agit d’élus d’extrême gauche comme J.L. Mélanchon. S’il se contente de son salaire et de ses indemnités non imposées de député européen il gagne actuellement 12 256 € par mois, plus de 30 000 € s’il a demandé à toucher ses pensions de retraite de salarié du privé (enseignant et journaliste) de député, de sénateur et d’ancien ministre, sans compter les avantages en nature (voyages, prêts à zéro %, etc.) qui vont avec. Il protestera peut-être, mais s’il veut démontrer que ce n’est pas vrai, il y a un moyen très simple : la publication de sa déclaration fiscale complète sur ses revenus de 2011 (incluant les revenus financiers et immobiliers s’il y en a).
Sans entrer dans les détails, deux choses m’ont frappé : le goût pour l’argent semble consubstantiel du socialisme malgré les déclarations fracassantes sur « l’argent qui corrompt », et les socialistes aiment à le chasser en meute, les actuelles poursuites pour « association de malfaiteurs » en témoignent.
Il y a dans l’entourage proche du candidat socialiste deux anciens condamnés (Harlem Désir : recel d’abus de biens sociaux, Jean-Paul Huchon : prise illégale d’intérêts dans des marchés publics) et des plus récents (comme R. Navarro, sénateur PS de l’Héraut : emplois fictifs et abus de confiance).
Il me revient à l’esprit que François Mitterrand fut dans la même situation. Son entourage était largement constitué de fripouilles notoires qu’il fréquentait avec le plus grand plaisir, comme le milliardaire Roger-Patrice Pelat qui s’enrichit outrageusement grâce à des tuyaux glanés à l’Elysée (affaires Péchiney-Triangle et Vibrachoc) avec lequel il faisait une promenade quotidienne, et dans le château solognot duquel il se rendait fréquemment en week-end. Pelat finit par tomber pour recel de délit d’initié.
Ceux qui tentèrent de moraliser la pratique socialiste, comme Pierre Bérégovoy, furent pris dans des pièges savants et le payèrent très cher.
Là non plus je ne vais pas rentrer dans les détails, Jean Montaldo, Libération, Antoine Gaudino et quelques autres ont raconté tout cela.
Je voudrais cependant rappeler comment la France fut soumise à une véritable entreprise de racket par Urba dont l’objet principal était de financer le PS, mais surtout par le réseau recruté et payé par le Parti Socialiste que Josua Gustiniani, qui en fut la cheville ouvrière, dénonça en 1990 dans un livre, Le Racket politique. Ce réseau-là avait pour but d’enrichir le parti, mais aussi des responsables socialistes.
Ce livre s’appuie sur plus de douze mille fausses factures, des carnets de souches bancaires, des lettres d’accréditation signées Claude Estier, des noms de personnalités socialistes par centaines, des détournements de fonds privés et publics dont certains se chiffrent en dizaines de millions de nouveaux francs, les traces comptables et bancaires de sommes encaissées par les dirigeants du PS, parfois sur leurs comptes personnels. Certains de ces comptes étant situés dans des paradis fiscaux : Basel Kantonal Bank, Iles Vierges (où Pelat avait une banque virtuelle qui facilitait bien les choses)…
Il faut lire le livre de Josua Gustiniani. Il l’écrivit par vengeance parce qu’il fut poursuivi en justice alors que le PS faisait voter une loi d’amnistie blanchissant tous ceux qui avaient en son sein bénéficié de l’argent sale collecté par Gustiniani.
Il avait été recruté à Marseille par Gaston Defferre pour devenir le financier « officiel » du PS. Il avait été recruté parce que les fausses factures et le trafic d’influence étaient sa spécialité dans le milieu marseillais.
Avec une quarantaine de personnes il rackettait les entreprises partout en France et dans les départements et territoires d’outre-mer, jusqu’à Nevers et Châtellerault, les villes de Pierre Bérégovoy et Edith Cresson, les premiers ministres d’alors.
Le livre permet de comprendre, de l’intérieur et de la bouche même d’un de ses acteurs principaux, comment et sans que nul ne l’ignore dans les plus hautes sphères du PS, ce parti a érigé la rapine en instrument de pouvoir.
Gustiniani montre aussi qu’à côté de la tentaculaire « pompe à phynance » Urba, chaque roitelet
socialiste dans sa province avait organisé sa propre pompe à fric.
Gaston Defferre mit d’abord Gustiniani sous l’autorité de Michel Pezet (PS Marseille), avant qu’il soit récupéré par Claude Estier, président de la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale et directeur de l’Unité, l’hebdo national du PS auquel les entreprises et les établissements publics et nationalisés étaient sommés d’acheter de pleines pages de pub.
L’organisation de racket mise sur pied par Gustiniani succédait en fait à celle de l’OFFRES, dirigée par Hubert Haddad, pionnier du racket socialiste puisqu’il l’avait mise au point dès 1972 alors qu’il dirigeait la régie publicitaire du Courrier de la Nièvre.
C’est Mitterrand lui-même qui avait recommandé Haddad à ses nouveaux amis socialistes.
Lui, puis Gustiniani repéraient leurs victimes en consultant les appels d’offres publiés par les mairies socialistes. Les entreprises pour gagner l’appel d’offres devaient payer cash. Si elles pouvaient le faire en espèces, tant mieux, si c’était par chèques, ceux-ci transitaient par le service de pub de l’Unité.
Pour financer la campagne de Mitterrand en 1988, Gustiniani fonda un nouvel hebdo de circonstance : Jonction. Le 4 mai 1988, Pierre Béréglovoy félicita Gustiniani pour son « travail ». Le 5 mai Mitterrand en fit autant. Le 26 mai, Laurent Fabius le félicita par courrier.
Plus tard, tous trois prétendirent qu’ils ne savaient pas qui il était.
Ainsi va le socialisme quand il est au pouvoir.
Maurice D.
21-02-2012
Un peuple qui oublie son passé,est condamné à le revivre !
Winston Churchill : 1874 – 1965.
J’avais voté Mitterand en 81, je tenais à ce qu’il y ait un peu plus de social pour aider nos « anciens », les personnes dans le besoin,etc…. mais aider est devenu assister et on a vu le résultat….
et ces 35h qui bouffent notre économie, à cause de celà, les petites entreprises ferment et on ose encore « grèver » pour avoir plus, toujours plus…. Sans patrons et entreprises: pas d’ouvriers….
STOP
Voila ce qui attend la France!!!
Et il prétend « gérer » la France ? Pauvres de nous !!!
Voir notre article et nos commentaires « Dette des Hautes-Alpes » classée deuxième en 2010 sur http://www.observatoiredessubventions.com
Vous verrez que notre département n’a rien à envier, bien au contraire à la Corrèze…..!
Voir également « Mauvais plant pour Cerbiotech » sur http://www.ledauphine.com.
Vous avez là un des exemples de cette « bonne gestion » entre amis….!
Lire également « Montant de la dette publique: 1692.7 millions d’euros » sur http://www.lecri.fr. Vous pourrez voir également dans nos commentaires que ce département a de très bonnes relations avec de très hauts personnages de l’Etat….!
Magouille et corruption, les deux mamelles de la « crise »….!
http://www.associationmieuxvivredanslatransparence.fr