Coût de l'immigration : Gourévitch auditionné par les députés UMP
Alors que le projet de loi Besson sur l’immigration est examiné à partir d’aujourd’hui à l’Assemblée Nationale, les députés du groupe UMP ont auditionné ce matin Jean-Paul Gourévitch, auteur des monographies de Contribuables Associés sur « Le coût de l’immigration », et « Le coût de la politique migratoire ».
C’est à l’initiative du député de Paris Claude Goasguen que Jean-Paul Gourévitch est venu présenter aux membres du groupe UMP à l’Assemblée Nationale intéressés les résultats de ses études. A peine une dizaine de députés étaient présents, dont Christian Vanneste (Nord), Françoise Hostalier (Nord), Patrice Calméjane (Seine-Saint-Denis) ou Etienne Pinte (Yvelines).
Claude Goasguen a demandé à Monsieur Gourévitch d’exposer une rapide comparaison européenne. Celui-ci a mis en avant l’attrait que représentent certains dispositifs français, dont l’Aide Médicale d’Etat, unique en Europe , qui permet aux clandestins d’être soignés gratuitement, et sans aucun contrôle. Le député de Paris avait bien cerné le problème : il est à l’origine d’une proposition de loi visant à réformer l’AME, qui coûterait 800 millions d’euros par an à la Sécurité Sociale.
Alors que le député de Seine-Saint-Denis, Patrice Calméjane, partant d’un constat établi dans sa ciconscription, insistait sur l’ampleur des transferts de fonds (des expatriés dans leurs pays d’origine), Jean-Paul Gourévitch a insisté : les transferts de fonds, bien que très importants, sont désormais inférieurs au montant de l’aide d’Etat aux pays sous-développés (10 mds d’euros par an). Et d’évoquer le développement du regroupement familial, qui inciterait désormais les expatriés à garder leur argent en France, pour accueillir leur famille, plutôt que de l’envoyer dans leur pays d’origine.
Dommage que les membres du groupe UMP n’étaient pas plus nombreux à être venus écouter l’exposé de ce spécialiste reconnu des coûts de l’immigration, avant d’examiner un projet de loi sur le sujet. Dans un contexte de crise budgétaire, les politiques ne peuvent plus faire l’impasse sur un poste budgétaire qui représente 26 milliards d’euros par an.
Seuls les pays riches peuvent aider les pays pauvres. Avec 1.500 milliards de dette publique, la France est-elle encore un pays riche ? Elle emprunte pour financer sa forfanterie, et se donner encore l’illusion, telle une vieille cocotte qui doit payer pour s’offrir des gigolos, qu’elle fait partie du peloton de tête. Du coup, les contribuables sont soumis à la double peine : payer pour aider les pays pauvres, mais aussi payer pour enrichir les pays riches qui nous prêtent de l’argent (c’est le service de la dette)
N’est-il pas plus simple que ces pays préteurs financent directement l’aide aux pays pauvres ? Mais c’est sûr que la Chine ou les pays pétroliers du Moyen-orient n’ont rien à f*** de l’Afrique, car ils ne revendiquent pas d’être « le pays des droits de l’Homme »
Et dire que certains commencent à dire que si la loi sur l’immigration se durcit, les clandestins gravement malades (entendez qui ont le SIDA) ne pourront plus être soignés. Tous ces gens là sont soignés gratuitement pendant que nous, pauvres crétins payeurs voyons nos remboursements se réduire comme peau de chagrin. Depuis 1983 on connait le mode de transmission du virus, alors pourquoi faire prendre en charge par la société le résultat d’un comportement irresponsable de la part de certains ? et il en va de même avec les drogués, considérés comme souffrant de maladie longue durée et sont donc pris en charge à 100% par la Sécurité sociale (sans bien sur avoir cotisé) qui leur fournit la Méthadone et le Subutex sans bourse délier et bientot les « salles de shoot » leur fourniront sans doute aussi la cocaine, les emphétamines, le christal et autres substances allucinogènes. Pauvre France !
la France est bonne fille, elle finance toute la misère du monde avec nos cotisations et impots divers.
Et si nous disions « halte »