La dette publique bientôt à 2 000 milliards d’ euros
La dette publique brute de la France a augmenté de 45,5 milliards d’euros entre le dernier trimestre 2013 et le premier trimestre 2014, soit une hausse de 1,8 point.
La dette publique française s’élevait à 1985,9 milliards d’euros fin mars, et se rapproche désormais dangereusement des 2 000 milliards d’euros. La dette publique représente désormais 93,6% du PIB.
Pour le premier trimestre, c’est la contribution de l’Etat à la dette qui représente la plus grande hausse, avec une augmentation de 43,3 milliards d’euros. La contribution des administrations de sécurité sociale a quant à elle augmenté de 4,6 milliards d’euros alors que la contribution des administrations publiques locales a baissé de 2,1 milliards d’euros.
source: le Figaro
Une honte finie pour nos gouvernants !
Faire de la politique sans avoir les moyens financiers qui vont avec, c’est quand même le degré zéro de la politique.
Et c’est ce que nos gouvernants irresponsables et inconscients font depuis quarante ans en nous disant que la croissance future, demain, un jour, à la saint glinglin, dans leur tête de monsieur Coué, va régler le problème.
Des clampins, qu’ils sont !
Et dire que chacun de nous dans la gestion de son ménage ou de son activité professionnelle fonctionne de manière bien plus raisonnée.
Même eux si on en croit leur déclaration de patrimoine ne s’endettent pas à mort.
C’est tellement facile de faire de la politique en donnant des sous fictifs qu’on n’a pas à telle ou telle catégorie socioprofessionnelle, pour s’accorder le beau rôle, se faire réélire.
C’est le degré zéro de la politique !
J’ai adressé votre pétition demandant de supprimer le statut public qui a tué le service public. Voici al réponse sensée d’une amie : « Oui c’est la seule solution pour sauver notre pays qui sombre mais ce qui a causé la perte de ROME, le pain et les jeux prend toute son expression en France et à ANNECY en particulier. J’ai dû me rendre au centre ville, j’ai été effarée par le nombre de gens parlant toutes les langues , heureux de flâner ou de refaire le monde en terrasse des cafés. Crois-tu que quelques uns d’entre eux souhaitent le changement ? Comme tu le dis si bien, nul ne veux scier la branche qui le porter et encore moins tuer la poule aux oeufs d’or » Difficile de faire boire un âne qui n’a pas soif !!