Coût de l'immigration : Contribuables Associés brise le tabou
L’immigration un sujet tabou : chiffrer son coût, comme Contribuables Associés l’a fait dans sa dernière monographie, c’était risquer les pires accusations.
Le seul fait de poser la question de son coût dérange ou provoque. Pourtant il est nécessaire, pour se faire une opinion sur le bien-fondé des politiques conduites dans ce domaine, d’en identifier et d’en évaluer les paramètres financiers.
C’est à cet exercice que s’est livré Jean-Paul Gourévitch, sans parti pris : « Certes, l’immigré n’est pas une marchandise et la vie humaine n’a pas de prix, tient à préciser l’auteur. Mais toute politique migratoire a un coût : pour le pays d’origine, comme pour le migrant lui-même, mais surtout pour le pays d’accueil.
Ces coûts, ce sont les contribuables qui les financent. Il n’est donc pas anodin, au moment où la France s’interroge sur les moyens de réduire son déficit public et de ‘‘booster’’ sa croissance, de disposer de données fiables et d’outils d’analyse pour évaluer les déficits et les bénéfices que la France peut escompter des quelque 4 826 000 immigrés qui résident sur son sol et de leurs 2 042 000 enfants de moins de 18 ans. » Au terme de cette analyse, Jean-Paul Gourévitch ne manque pas de présenter des solutions qui permettraient de réduire ces coûts.
Autre précision, que Contribuables Associés apporte à la suite de propos mal interprétés : « L’immigration n’est évidemment pas la responsable du déficit public.
Il ne s’agit pas de pointer du doigt l’immigration en tant que telle et encore moins les migrants, mais simplement de rappeler que le déficit de toute politique est à la charge du contribuable. »
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Morceaux choisis…
La monographie « Le coût réel de l’immigration en France » a provoqué de vives réactions…
Des félicitations, bien sûr, de fidèles qui se sont réjouis que Contribuables Associés ose s’attaquer au sujet et dévoiler les vrais chiffres de l’immigration, et d’autres, moins enthousiastes, accusant notamment l’association de faire le jeu des extrêmes. Accusation suprême, qui vise à éluder un débat pourtant décisif !
Fédération LCR (Ligue communiste révolutionnaire) 66 :
« Ce genre de provoc’ est ridicule. Qu’espérez-vous ? Gardez ce genre de conneries pour vous et vos amis sans cervelle de l’extrême droite. En attendant que des “experts” chiffrent le coût de l’étendu (sic) de votre bêtise, veuillez éviter d’encombrer notre boite mail de vos inepties populistes. »
Fédération LCR 95 :
« Tant que des trusts de l’industrie pharmaceutiques refuseront, pour de simples problèmes de royalties, de mettre a disposition la trie-thérapie (sic) générique à disposition des pays d’Afrique en laissant ainsi crever les populations locales ;
Tant que les pays riches du Nord continueront a prendre les pays pauvres du Sud pour des cours de recréation, y financer des dictatures sanguinaires pour capter les ressources locales (énergies fossiles, diamant etc.) ;
– Tant que les industries occidentales continueront a (sic) exploiter des populations entières en Asie, Afrique… – Tant que tout ca perdurera… voyez-vous une seule raison objective pour que les flux migratoires cessent ? »
Jacob Arfwedson, suédois, chercheur associé à l’Institut économique Molinari :
« J’apprends ce jour que je suis non seulement un coût pour la société française, mais également un frein à la croissance !
Comme j’ai fondé mon entreprise il y a bientôt six ans (après avoir été salarié/cotisant pendant maintenant plus de vingt ans), il faudrait donc que j’arrête et retourne dans mon pays d’origine ? »
Que ceux qui veulent faire porter le coût d’une immigration utilisée à des seuls fins électoralistes sur les autres prennent leur responsabilité sur la faillite et la désintégration du « modèle Francais ».